« Autant être honnête, j’ai adoré mourir. Ou plutôt, être en train de mourir. Et comme ça m’est arrivé deux fois, j’oserais presque dire que je sais de quoi je parle. »
Sophie Chauveau a rencontré intimement la mort. Elle invoque ici le cortège de celles et ceux qui l’ont quittée et qui s’en vont de plus en plus nombreux au fil des années.
Ils ont occupé une place essentielle ou fugitive dans sa vie (Marceline Loridan-Ivens, Maurice Clavel, Honoré, Philippe Sollers…) et ont partagé ses combats, ses indignations et ses engagements féministes et écologistes.
« Montesquieu disait à un avare : “Vous faites bien d’amasser de l’argent pendant votre vie, on ne sait ce qui arrivera après la mort”. Alors, j’amasse de la joie pour après. »
Un récit singulier et émouvant, apaisé et lumineux.
Sophie Chauveau explore depuis plus d’une dizaine d’ouvrages les ressorts de la vie et de l’inspiration des peintres et des artistes (Lippi, Botticelli, Vinci, Picasso, Fragonard…). Son dernier roman, La fièvre Masaccio, a obtenu le prix du cercle Léonard de Vinci 2023.
Dans ses textes plus autobiographiques (La fabrique des pervers, Noces de charbon), plusieurs années avant la vague #Metoo, elle a ouvert la voie à la prise de conscience de l’étendue des phénomènes d’inceste et d’abus au cœur des familles.
« Sans le livre de Sophie Chauveau, je n’aurais pas pu écrire La Familia grande. »
Camille Kouchner à propos de La Fabrique des pervers
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